L'année a filé à une vitesse folle et les fêtes païennes, chrétiennes et autres plaisirs d'hiver sont de retour. Et le stress qui va avec. Certain·es se préparent déjà mentalement au débat avec leur cousin droitard du brabant wallon ou autre proche doucement facho sur le grand remplacement islamo-gauchiste de la crèche dangereusement inclusive de la grand place. Quoi de mieux pour se détendre qu'un bon film réconfortant de Noël seul ou accompagné ?
Alors libre à vous d'aller au cinéma voir A la poursuite du Père Noël de James Huth avec Patrick Timsit dans le rôle du father Christmas himself. Mais nous on a plutôt préféré sortir les plaids, les bouillottes et les thés aux saveurs décadentes pour se regarder un grand classique du genre sans bouger de la maison.
Traduit en français sous le titre La Vie est belle (et à ne pas confondre avec le film homonyme de 1997 de Roberto Benigni), It's a Wonderful Life de Frank Capra avec James Stewart et Dona Reed est un film de 1946. Malgré un échec initial au box office, ce conte de Noël moderne, basé sur la nouvelle de Charles Dickens* The Greatest Gift*, est devenu depuis cultissime, réputé l'un des meilleurs Christmas movies jamais réalisé et sacré par le American Film Institute comme l'un des 100 meilleurs films américains jamais tournés.
Personnellement, c'est en bons cuistres que nous nous sommes donc installés sous le sapin pour découvrir cette pierre angulaire de l'esprit de Noël hollywoodien : le destin de George Bailey, un homme simple de Bedford Falls. Vous, vous saviez que la plus grande des richesse ce n'était pas l'argent ?





